version numérique d'une vie

Étiquette : William J. Learmont

Projet de doctorat – 4.7 La période 1912-1914 – Le nouveau pavillon de la rue Sherbrooke

Entre 2011 et 2019, j’ai travaillé sur un doctorat interuniversitaire en histoire de l’art. Je place ici le brouillon de ma thèse. Vous pouvez consulter le plan complet du projet et une description de mon parcours. N’oubliez pas qu’il s’agit d’un brouillon.


4.7 La période 1912-1914: Le nouveau pavillon de la rue Sherbrooke et ses finances

Si la plupart des activités de l’AAM sont déficitaires, l’association n’est pas pauvre. D’abord, elle est propriétaire d’un terrain et d’un immeuble au Square Phillips. Ensuite, l’appui de ses membres demeure important. Héritière de Benaiah Gibb et bienfaitrice de l’association à de nombreuses occasions, Elizabeth Catherine Orkney lui lègue 50 000 $ à son décès1. Ce don inopiné lui permet de rembourser l’hypothèque contractée en 1893 lors de son agrandissement2.

Projet de doctorat – 4.6 La période 1893-1908 – La Loan Exhibition comme service aux membres, les artistes canadiens et Horatio Walker

Entre 2011 et 2019, j’ai travaillé sur un doctorat interuniversitaire en histoire de l’art. Je place ici le brouillon de ma thèse. Vous pouvez consulter le plan complet du projet et une description de mon parcours. N’oubliez pas qu’il s’agit d’un brouillon.


4.6 La Loan Exhibition comme service au membres, la place des artistes canadiens et le cas d’Horatio Walker

Avec l’ouverture de la nouvelle galerie, la succession des expositions d’oeuvres prêtées et l’institutionnalisation de l’Exposition du Printemps, la « Loan Exhibition » se transforme en service aux membres. En montrant les nouvelles entrées dans les collections privées, elle continue de s’inscrire dans la mission de promotion des beaux-arts de l’association.

L’exclusion des artistes canadiens

Toutefois, le désir d’accrocher les meilleures œuvres appartenant aux membres dans le cadre des « Loan Exhibitions » écarte les artistes canadiens contemporains. La critique est clairement exprimée en 1895 : «  This exhibition goes to prove that Canadian talent is not appreciated, for out of 83 pictures, there are no Canadians represented. It seems strange with such names as Shannon, Peel, Fraser, Jacobi, Fowler, Bridgeman and many others to select from1. »

Projet de doctorat – 4.6 La période 1893-1908 – L’exposition inaugurale de 1893

Entre 2011 et 2019, j’ai travaillé sur un doctorat interuniversitaire en histoire de l’art. Je place ici le brouillon de ma thèse. Vous pouvez consulter le plan complet du projet et une description de mon parcours. N’oubliez pas qu’il s’agit d’un brouillon.


4.6 L’exposition inaugurale de 1893

L’exposition inaugurale de 1893 ouvre une nouvelle époque pour les « Loan Exhibitions ». Sous plusieurs aspects, elle ressemble aux événements passés. D’abord, elle s’inscrit dans le registre mondain. Elle débute par une visite réservée aux membres. Le gouverneur général et son épouse, le comte et la comtesse d’Aberdeen, président à la cérémonie1. Musique et discours ponctuent la soirée2. Les invités et les invitées représentent l’ensemble le plus élégant de l’élite montréalaise3.

Projet de doctorat – 2.2 Caractéristiques des Loan Exhibitions – 2.2.7.1 Étude de cas de l’aspect collectif: Les principaux prêteurs

Entre 2011 et 2019, j’ai travaillé sur un doctorat interuniversitaire en histoire de l’art. Je place ici le brouillon de ma thèse. Vous pouvez consulter le plan complet du projet et une description de mon parcours. N’oubliez pas qu’il s’agit d’un brouillon.


GRAPHIQUE 9 Participation de Richard B. Angus aux « Loan Exhibitions ». Nombre de prêts par exposition

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